Merci pour « Cavale vers les étoiles » !
Il y a des jours où les bonnes surprises débarquent sans prévenir. C’est le cas de ce 21 août 2017 où lors de l’ouverture de ma boite aux lettres j’ai eut le plaisir de constater qu’un colis m’attendait. A l’intérieur « Cavale vers les étoiles » un nouveau manga édité par Casterman qui ne sort officiellement dans les librairies que le 23 soit deux jours plus tard. Ce qui fait encore plus plaisir c’est la confiance de l’éditeur Casterman dans Band of Geeks puisqu’il ne s’agit nullement d’une demande de notre part mais bel et bien un envoi spontané ! Peut être que ma critique du premier tome de l’excellent Gloutons et Dragons (dont j’attends d’ailleurs la suite avec impatience !) a prouvé que l’on pouvait faire confiance au site ! J’en suis donc personnellement ravi !
Ne connaissant pas du tout ni l’auteur de ce manga, Ryôma Nomura, ni l’œuvre en question, j’ai cherché un peu pour me renseigner et il s’avère qu’il s’agit là de son premier manga. Toutefois, gage de qualité s’il en est, ce dernier a été prépublié dans le prestigieux Afternoon de Kodansha à qui l’on doit par exemple l’excellent « L’Habitant de l’Infini » dont j’ai parfois fait mention dans mes TFM2A.
L’histoire de « Cavale vers les étoiles » nous transporte dans un futur proche où les implants cybernétiques sont devenus la norme. L’empire Britannique, qui contrôle la Terre, entend bien stopper les révoltes qui commencent à éclater sur les colonies établies sur Mars. Pour ce faire, la génétique martienne va être utilisée et détournée pour fabriquer des cyborgs combattants. L’héroïne, Kinu, veut retourner sur Mars pour retrouver les siens. Pour cela elle va fuir le complexe militaire et sera secondée par Roku, une pauvre vendeuse de nouilles qui n’a rien demandé mais va se retrouver face à toute l’armée de l’empire !
Ce synopsis me plait beaucoup et semble allier science-fiction, humour et action avec brio ! Je vais donc de ce pas aller le lire pour en faire une critique plus poussée pour un article ultérieur. Entre-temps je tiens avec cet article à remercier les éditions Casterman pour la confiance qu’ils nous portent mais également pour leur générosité !
Au plaisir !
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