Aujourd’hui dans ce nouveau « Réflexion sur… » nous allons aborder un sujet qui touche énormément de joueurs : la dépression post-game. J’en suis moi-même victime régulièrement et je sais que je ne suis pas le seul dans ce cas. Un sujet sérieux mais pas non plus dramatique rassurez-vous, surtout que je n’ai pas la prétention d’en faire un article « scientifique » ! Prenez place sur le divan de Band of Geeks, détendez-vous et parlons de ce fléau qui touche trop de joueurs de par le monde…
La dépression post-game : Une vraie plaie
Un vrai mal ?
Parler de maladie est vraiment trop excessif pour ce phénomène. Mais la dépression post-game existe pourtant bel et bien et à plusieurs niveaux. A titre personnel elle m’affecte souvent lorsque je termine un jeu sur lequel j’ai passé des dizaines d’heures. J’en ai fait mention lors de mon dernier TFGA (qui parlait de la fin) mais étant un gros fan de JRPG je ressens souvent ce dépit lorsque je termine un titre comme par exemple Tales of Xillia 2. Il faut dire que passer 100 heures avec des personnages, les suivre, les faire évoluer et sauver le monde ça crée des liens. Alors forcément comme le dirait Christophe Maé : « On s’attache ! » et comme un ami qu’on aurait depuis des années et qui change de ville, on est triste de les voir s’éloigner de nos vies. Cela peut paraître idiot pour beaucoup de joueurs (notamment ceux qui ne recherchent que les défis ou qui ne jouent qu’à un seul jeu pour en devenir le meilleur) mais c’est vraiment un sentiment étrange. Alors bien sûr c’est une fausse dépression puisque ce ne sont « que des jeux vidéo » mais je crois qu’il ne faut pas sous-estimer ce phénomène puisque par exemple il m’est arrivé de ne pas toucher une manette pendant plusieurs jours après avoir fini un titre car « rien ne me faisait envie » alors qu’avant de le terminer je me disais « j’enchaînerai avec tel jeu juste après ! ». De même, dans ma vie courante il m’arrivait d’être un peu dépité alors que rien ne le justifiait. Mais allez raconter à votre chef que vous êtes un peu dépité parce que vous venez de terminer Final Fantasy VII et que c’est pour ça que vous traînez la patte ! Inconcevable hein ? Un des pires moments post-game que j’ai connu a été celui où j’ai terminé NieR après avoir vu la dernière fin disponible (il y en a 4). J’étais pour ainsi dire désœuvré et j’ai mis plus d’une semaine à reprendre une manette alors que j’étais en vacances.
Mais pourquoi ce dépit ?
C’est tout de même étrange de ressentir une dépression post-game, d’autant plus que jouer est censé au contraire nous distraire et nous rendre le sourire après une journée de travail stressante (ou pas d’ailleurs ça dépend des gens). Je sais que personnellement je joue pour m’évader (comme lorsque je lis un livre ou regarde un film) et c’est sans doute le cas de beaucoup de joueurs. Je ne fixe aucun objectif en lançant un jeu si ce n’est de prendre du plaisir. C’est pour cela que si le jeu ne me plait pas je ne me force pas à continuer. A quoi bon gâcher du précieux temps de jeu sur un titre qui ne me procure aucun plaisir ? Mais ce choix entraîne donc des heures de jeu sur des titres qui me plaisent beaucoup. Et comme je l’ai mentionné plus tôt, les JRPG (et même le genre du RPG en général) sont des jeux sur lesquels on peut passer de nombreuses heures (généralement une cinquantaine) et dans lesquels les personnages principaux vous font vivre une histoire intéressante et prenante. Pas étonnant qu’à l’apparition du mot « Fin » la plupart d’entre nous se sentent attristés malgré la sensation agréable d’accomplissement qui arrive généralement en même temps. Mais cela n’arrive pas tout le temps. Par exemple aussi sympas soient-ils je n’ai ressenti aucune dépression post-game après avoir terminé Star Ocean – Integrity and Faithlessness ou encore Oceanhorn – Monster of Uncharted Seas ! Ce phénomène ne m’est arrivé que sur des excellents jeux qui m’ont marqué comme la plupart des Final Fantasy ou Wind Waker par exemple. Mais je ne regrette rien car c’est cette sensation qui me donne continuellement envie de vivre ce genre d’aventures. Dernièrement j’ai terminé Dragon Age Origins et il aurait pu me provoquer ce sentiment mais comme j’ai lancé Dragon Age II dans la foulée je m’en suis bien sorti. Reste à voir si après avoir terminé la trilogie je serai en état de jouer ou non.
Conclusion sur la dépression post-game
Ce que je retiens de ce « mal » qu’est la dépression post-game, c’est qu’elle me prouve que les jeux vidéo me font vivre des aventures qui me marquent au point que je m’attache à leurs univers et d’en être ainsi affecté. Et si d’aucuns diront que cela reflète une personnalité dérangée je ne les contredirai pas parce qu’à titre personnel je préfère largement passer 60 heures sur un titre qui me passionne et être un peu triste en devant le quitter que de ne rien ressentir du tout en jouant. Le jeu vidéo est une passion qui me transporte autant voir plus qu’un excellent livre ou un bon film. Je me sens même plus investi dans un jeu vidéo que dans un livre puisque je suis acteur en plus d’être spectateur. Dans tous les cas, rassurez-vous, si la dépression post-game vous arrive, prenez-la comme l’accomplissement de votre investissement dans le jeu que vous venez de terminer. Et vous êtes à ce titre parfaitement normal(e) !
Et vous, ça vous est arrivé sur quel(s) jeu(x) de faire une petite dépression post-game ? N’hésitez pas à nous raconter ça en commentaire ça m’intéresse. de même si vous souhaitez réagir sur ce que j’ai dit vous êtes libres de le faire ici !
- [20 Years Back] Le jeu du mois – Novembre 2004 : Tales of Symphonia [GC] - 16 novembre 2024
- Test de Ys X: Nordics [PS5] - 17 octobre 2024
- [20 Years Back] Le jeu du mois – Octobre 2004 : GTA San Andreas [PS2] - 13 octobre 2024
J’ai ressenti cette dépression avec Skies Of Arcadia et ShenMue, tout deux sortis sur Dreamcast. Depuis, cet état d’esprit est un peu moins présent quand je m’adonne à un jeu vidéo. Ouf ! :)
Je confirme, ils étaient vraiment excellents et je l’avais également ressenti à l’époque de leur sortie ! Merci pour ton commentaire en tout cas. ;)
Article très intéressant ! Je n’aurais pas su mettre un mot à ce sentiment étrange qui te gagne lorsque tu joues à un jeu que tu aimes particulièrement ! Mais il faut avouer que tu es bien content aussi quand tu termines un jeu qui t’ennuies à en mourir. Ca doit s’appeler la jouissance post-game LOL.
Merci de ton commentaire ! :) J’ai mis du temps avant de lui trouver un nom j’avoue, cela fait des années que cela m’arrive. xD
J’avoue que terminer un jeu « en se forçant » ça fait ressentir un soulagement certain. Je n’irai pas jusqu’à dire « jouissance » parce que cela inclus la notion de plaisir et là à priori elle n’y serait pas. Mais l’idée n’est pas si mal. ;)
Ahlala, je ne suis donc pas le seul !
Récemment ça met encore arrivé sur Dark Souls III, un jeu tellement excellent qu’une fois terminé je n’avais plus envie de rien… J’aurais pu me lancer dans une NG+ dans la foulée mais par manque de temps je n’ai pas pu et la dépression post-game s’est installé pendant quelques jours (comme tu le décris en fait).
Super réflexion en tout cas !
Et oui on s’imagine tous être les seuls à connaître ça mais en fait on est tout un tas ! xD
Merci de ton commentaire l’ami. ;)
La même avec elden ring, j’ai été jusqu’au ng5 puis je savais plus quoi faire et je suis toujours dans le vide, donc pour pas resté désœuvrés je me suis attaqué à ds3 que j’ai aussi sécher et maintenant je sais plus quoi faire. En plus de ça le passage au lycée m’a encore éloigné de mes potes, je me sens seul, sans but alors que les autres ont tous l’air heureux et sûr d’eux.
Je n’ai pas fait Elden Ring mais vu ce que j’entends sur le jeu je comprends parfaitement que tu aies succombé toi aussi à cette « dépression post-game ». J’espère que ton envie de jouer à autre chose reprendra le dessus rapidement.
Quand à ton passage au lycée je conçois parfaitement que tu te sentes désorienté. J’avais moi-même été séparé de mes amis de toujours et je l’avais assez mal vécu. D’autant plus qu’à l’époque il n’y avait pas tous les moyens d’aujourd’hui pour rester en contact (je sais, imaginer un monde sans téléphone portable ou Internet est inconcevable mais c’était le cas) ce qui accentuait encore plus ce sentiment de solitude. Si vraiment tu te sens trop mal, n’hésite surtout pas à en parler autour de toi et ne te laisse surtout pas aller à une vraie dépression cela peut être très dangereux ! Et je te rassure sur un point, on croit tous que les autres sont au top alors que bien souvent ils dissimulent aussi leurs craintes et leurs peurs sous le masque du sourire, tu n’es certainement pas le seul à te sentir isolé et un peu perdu avec le passage au lycée ! Courage à toi et surtout ne te laisse pas submerger par la solitude.
Ah c’est donc ça… Je ne savais même pas que ça pouvait être un vrai syndrome et pour être honnête je n’avais jamais vraiment fait le rapprochement. Mais en effet, je me suis déjà traînée comme une larve pendant plusieurs jours après avoir fini mes titres préférés (SotN, FFVII, Ni No Kuni). Je viens de reprendre FFIX et du coup maintenant j’ai peur du contrecoup :(
Super article en tout cas et merci beaucoup d’avoir trouvé un nom à cet état ;)
Maintenant je pourrai justifier mes jours de baleine échouée sur le canapé à bouffer n’importe quoi après avoir fini un RPG : « Ta gueule, je suis en dépression post-game ! Bouhouhou… »
Merci de ton commentaire. J’ai donné ce nom au phénomène car effectivement je ne savais pas comment l’appeler autrement. ^^
C’est encore plus dur de ne pas y succomber quand on finit un RPG ! Enfin moi je sais que ça m’arrive souvent avec ce genre de jeux. xD
Si ça te permet de te justifier alors je suis content. :p
MASS EFFECT. J’ai appelé ça le Syndrome post Mass Effect. Je sais que je ne suis pas la seule a l’avoir vécue après avoir fini le jeu (des potes et mon copain m’en on parlait) j’me suis sentis tellement vide et triste à la fin. Etrange sensation.
C’est fou comme on a tous connu ça à un moment ou à un autre ! Bizarrement même si j’ai adoré le premier Mass Effect je n’ai pas ressenti cette dépression après l’avoir fini. Peut être parce qu’à l’époque un autre jeu me faisait tellement envie que j’ai pu enchaîner direct (comme je l’ai fait avec Dragon Age et Dragon Age II).
Merci pour ton commentaire en tout cas !
Bonjour, je viens de finir Nier automata et je ressens actuellement cette depression :(
Ça me l’avait fait pour tales of Berseria mais beaucoup moins fort Alors que je suis dévaster pour avoir fini Nier automata .
J’essaye de combler ce vide avec des jeux à parties unique comme CS ou LOL.
Fin , en tout cas, ton article m’as bien aidé, merci
C’est toujours difficile à éviter. Je n’ai pas encore eut la chance de jouer à NieR Automata (dans le courant de l’année probablement) mais la seule technique que j’ai réussi à trouver pour amoindrir cet effet néfaste c’est de commencer un autre jeu AVANT de terminer le premier. Comme ça on est dans un autre univers en parallèle et finir un des titres est ainsi moins « douloureux ».
Merci pour ce commentaire avec ton retour en tout cas !
C’est exactement ça. Je le vis en ce moment depuis que j’ai finis Nier Automata il y a une semaine, plus moyen de jouer à un autre jeu.
Ça à l’air con pourtant…
C’est effectivement très bête comme sentiment mais je vois qu’il touche beaucoup plus de gens qu’on ne le croit ! Merci d’avoir pris le temps de partager ton expérience avec nous !
salut volke, j’ai eu pareil que toi pour ce jeu en particulier.
La raison est du qu’on s’attache aux personnage mais que le jeu passe trop vite et on le fini avec un gout amer de » j’en veux encore »
je te conseil de te forcer à jouer à un autre jeu que tu aime pour passer ce sentiment.
Dans deux ou trois jours, tu aura envie de rejouer à plein d’autre truc :)
@Romain Boutté De rien, j’espère que l’après NieR: Automata te serasplus simple à digérer pour toi qu’il ne l’a été pour moi.
@christ909 Pour le moment, je rejoues quelques fois à Overwatch mais j’attend avec impatience la venue du DLC début Mai pour NierR même si ce n’est pas un DLC scénarisé.
NieR Automata je pense le faire quand j’aurai plus de temps pour vraiment être « dans le jeu ». A mon avis ce sera pour cet été pendant mes vacances pour bien apprécier le titre… Mais je ne ferai pas l’erreur de ne jouer qu’à ça histoire de ne pas sombrer dans la dépression. ;)
Merci beaucoup pour cette article je pensais être le seul aussi :p
Ça me l’as fait sur les mass effect également, surtout avec les adieux aux compagnons et à la romance pendant la bataille qui sont déchirants :'(
Merci pour ton commentaire ! Effectivement nous sommes beaucoup à avoir connu ça un jour ou l’autre. Pour Mass Effect je te comprends même si j’avais attaqué d’autres jeux en parallèle pour ne pas connaître cette dépression justement ! :p
Ah très malin la technique :p
En tout cas merci encore pour cette article c’est toujours bon d’essayer de comprendre ce qui nous arrive quand ça va pas :)
Oula de rien ! J’ai pas la prétention de dire que je peux aider qui que ce soit, j’ai simplement parlé de ce dont j’avais envie. Mais content si ça a pu t’aider ! ;)
;)
Putain ça fait tellement du bien de lire un article pareil, et de voir qu’il y a vraiment beaucoup de gens qui ne jouent pas seulement aux jeux vidéos mais les » vivent » !
Dernièrement j’ai finis ( et refinis ( et re-refi-bon je m’arrête là ) The Last of Us, je n’en peux plus d’attendre la sortie du prochain.. tellement de mystère It hurts my emotions ;-;
Et, mon » chouchou » dans la catégorie dépression Post-game j’ai nommée Life is Strange ! Je ne veux rien spoiler mais.. à chaque fois que je finis ce jeu je veux juste rentrer dans l’univers et faire des câlins à chaque personnage, même Nathan et Jefferson oui putain! Oui! J’ai la gorge serrée rien que d’y penser, ah.. et le deuxième opus à l’air tout aussi, si ce n’est plus, fou.
Merci encore pour cet article ! :’)
Oh et bonne année tant que j’y pense !
Merci pour ce super commentaire ! Je suis content que l’article t’ait plu. The Last of Us m’a beaucoup plu mais pas au point de faire ma dépression post game tout de même. Et Life is Strange est sur ma liste de jeux à faire mais elle est tellement longue que je ne sais pas quand ce sera.
Merci de m’avoir lu en tout cas ton enthousiasme m’a fait plaisir.
Hey ! Je sais pas ou tu en es aujourd’hui…j’ai passé 40 heures sur le dernier The Last Of Us 2, et depuis 5 semaines, je n’arrive plus à sortir de cette sorte de dépression…il m’est arrivé déjà de ressentir cela, mais pas au delà de quelques jours…ce chef d’oeuvre m’a vraiment marqué…Naugthy Dog a pondu plus qu’un jeu…J’ai envie de refaire le New Game Plus, mais dès que je vois ma manette je me sens tout bizarre…J’ai trouvé très peu de personnes avec qui parler de cette merveille…
Salut ! Ben écoute j’ai beaucoup aimé le jeu mais je t’avoue que malgré sa profondeur il ne m’a pas laissé « blasé » comme j’aurai pu le penser avant de m’y mettre. J’ai enchaîné d’autres titres depuis (Ghost of Tsushima ou Fairy Tail par exemple) même si clairement là je suis aussi dans une phase où je n’arrive plus à trouver un jeu qui me motive. Pourtant j’en ai pas mal à faire et je suis déjà à 60h sur Yakuza 0…
Mais je compatis parce que vraiment cet état est terrible ! Courage !
J’ai fini la deuxième partie il y a deux jours de ça et je vis aussi une grande émotion étrange en moi. Mais vraiment, quelque chose de fort. Un manque je ne sais pas, parce que le jeu est tellement intense et dur à encaisser que malgré mes tentatives de recommencer une partie ou même de recommencer le premier volet : je n’y arrive pas. Pas d’envie. Alors j’écoute la B.O ou je me mate des vidéos qui parle du jeu. C’est comme si j’avais besoin d’être en contact avec le jeu mais je ne veux pas y jouer. Y’a une tristesse latente en moi, c’est fou que ça me fasse ça.
Ton message date de 2020 donc j’imagine que tu en es sorti mais peut-être que tu peux nous en dire plus sur cette situation avec le recul que tu as aujourd’hui ?
Salut !
Je pense que tu as une connexion particulière avec le titre et son univers et que c’est pour ça que tu es dans cet état. C’est difficile quand on a apprécié une oeuvre à ce point de s’en défaire. Y a des choses qui marquent une vie. Même si à titre personnel je n’ai pas ressenti ça pour TLoU je peux comprendre qu’on soit touché par les personnages et leur destin tragique.
Il est vrai que je n’ai pas été dans cet état depuis longtemps, que ce soit avec un livre, une série ou un jeu vidéo. Peut être n’ai-je pas trouvé de nouveau une oeuvre qui m’affecte vraiment même si je prends beaucoup de plaisir malgré tout. En vérité il n’y a pas de technique particulière pour changer cet état, ça vient tout seul avec le temps je pense. Il suffit de trouver une autre source de stimulation ça aide à passer le cap. :) Courage en tout cas.
Merci de ta réponse,
j’espère que ça va passer oui !
Aussi si d’autres personnes qui me lisent ont expérimenté la même chose que moi sur ce jeu, je suis ouvert pour en parler :)
Salut,je me permets de t’écrire car je pense que ca me fera du bien ,j’ai fini le jeu cette nuit a une heure du matin je n’ai pas réussi à dormir avant 7h du mat, j’ai vu des vidéos sur la création du jeu ses anecdotes etc, rien que de repensé à l’histoire et ses personnages j’ai les larmes aux yeux , tu es sorti de cet état au bout de combien de temps ?
Vachement sympa comme article =P ça aide de savoir qu’on est pas seuls à le ressentir ^^ Perso j’ai ça avec The Witcher 3 en ce moment, j’en suis réduit à forcer des parties de CS pour que ça passe :]
Je crois vraiment qu’on est bien plus nombreux qu’on le croit à être atteints de cette maladie. Il faudrait pouvoir se faire offrir des jours de repos par la Sécu. :-P
C’est clair mdr il faudrai qu’ils nous donnent 3j de repos. Bon j’arrive un peu beaucoup tard mais ça m’a fait plaisir de lire cette article c’est vrai que j’ai lu tout les commentaires et on est beaucoup a avoir vécu ça, moi je viens de terminer ce soir Red Dead Rédemption II, je m’y suis mis un peu tard je sais et franchement je suis dépité, j’ai pas joué au 1 mais le 2 m’a vraiment fait vivre un truc je sais pas comment le décrire, je me demande ce que sont devenu tout ses personnages et également ceux mort, je trouve le jeu quelques peu cruel également mais un véritable chef d’œuvre pour moi, Rockstar nous fait attendre énormément de temps pour ses jeux mais ils sont très très détaillés et c’est vrai que je préfère attendre beaucoup de temps et avoir un jeu très qualitatif que peu de temps et que le jeu sois sympa mais sans plus et surtout que les développeurs ce sois malmené pour donner le jeu en temps et en heure. Surtout que je ne sais pas si tu y a joué, et je te le conseille si tu l’a pas fait mais l’histoire est génial on s’y prend très vite, ça s’essouffle un peu au bout d’un moment ou c’est juste moi a avoir enchaîné 1 semaine a joué pendant une très grosse partie de ma journée et ça dois joué mais au moment de l’épilogue j’ai retrouvé ce plaisir d’au début du jeu même si ce fut de courte durée car l’épilogue a été assez court et, attention petit spoil qui n’a pas grande influence sur la suite ne vous inquiétez pas, lorsque l’on construit la maison, je trouve que c’est passé vraiment vite et que ça a pas été assez travaillé cette fin du jeu mais ils allais pas faire un 2ème jeu en 1. Bref je vais arrêter de parler et si tu vois ce commentaire car j’arrive vraiment tard, et que tu a joué au jeu, je serai ravi t’en parler un peu plus avec toi, sur ce bonne soirée
Merci pour ton commentaire l’ami ! Alors non je n’ai toujours pas fait RDR2 (je l’ai pourtant et il est installé et tout…) mais je garde d’excellents souvenirs du premier que j’avais adoré et qui fait partie de mes jeux PS3 favoris.
Ravi que tu sois d’accord avec moi et la plupart des gens ici pour dire en tout cas que oui, finir un jeu souvent ça fout un petit coup au moral. :)
Moi c’est un phénomène qui m’arrive très souvent en particulier à la fin des jeux pokémon. Ça me rend triste de devoir abandonner des creatures avec les quelles j’ai vécu un aventure de plusieurs heures en les voyant evoluer et de passer d’une bestiole toute mignonne à une grande très puissante ( pourtant rien ne m’empêche de continuer a jouer au jeu en online
C’est sûr, dans les RPG c’est plus flagrant parce qu’on passe énormément de temps avec les personnages et forcément on s’y attache. Pokémon c’est vrai que faire grimper de niveau ces petites bêtes ça crée des liens !
Merci de m’avoir lu et d’avoir pris le temps de poster un commentaire en tout cas. ;)
Moi perso c’était sur nier:automata
Je te comprends c’est un très grand jeu. Avec le remake du premier NieR qui arrive je sais que je vais de nouveau connaître cet état très prochainement…
Je viens de finir le jeu « Okami » et j’étais tellement pris dedant que je n’est pas vu la fin arriver et maintenant je déprime…
Je te comprends parfaitement, Okami est un chef d’œuvre. Il est incroyable de bout en bout.
Merci pour ton commentaire au passage. :)
Moi elle vient de m’arriver aujourd’hui cette « dépression ». C’est sur Life is strange: True Colors. C’est peut-être bizarre que ce soit sur ce jeu qui pourtant n’a qu’environ 8ou 9h de jeu. En fait, j’ai plus envie de jouer à aucun jeu et je n’ai même pas envie de jouer à d’autres Life is strange tellement je me suis attaché aux personnages et à l’histoire. C’est tellement horrible que j’ai pratiquement envie de pleurer xD.
J’avais ressenti un peu ça sur le premier à l’époque parce que je m’étais attaché aux personnages mais moins sur le deuxième. Je n’ai pas encore fait True Colors mais avec son arrivée il y a quelques jours dans le Game Pass il est probable que je me lance prochainement !
Merci pour ton commentaire en tout cas. :)
Bonjour, cela m’est arrivé il y a longtemps sur ps1 avec Final Fantasy 8, j’étais dégouté et triste! que j’ai mis du temps avant d’éteindre la console.
Et également sur un jeu ps2 que je viens récemment d’acquérir, Shadow Hearts Covenant!
on s’attache aux personnages et on ne veut pas que ça s’arrête… et à la fin on pleure comme une madeleine..
Bonjour,
Effectivement on s’attache vite aux personnages quand ils sont bien écrits. C’est la preuve qu’il s’agit d’excellentes oeuvres.
Je ne connais que de nom Shadow Hearts (j’envisage un jour de faire la saga) mais je reconnais que FFVIII est incroyable à ce niveau-là.
Exactement ce qu’il m’arrive après avoir terminé A Plague Tale : Requiem (ça m’est aussi arrivé après avoir fini The Witcher 3 il y’a quelques années). Content de voir que je ne suis pas seul. On s’attache très vite aux histoires et personnages. C’est dingue toutes les émotions véhiculés par les jeux solo narratifs, plus immersifs qu’un simple film. On s’y croirait tellement qu’une fois fini c’est comme si on nous enlevait une partie de nous même.
Merci pour ton commentaire. En effet, quand une histoire est bien écrite et les personnages attachants on a pas envie de quitter l’univers en question. Je n’ai pas fait les A Plague Tale (ils sont sur ma liste…) mais je comprends ton état.
Clairement de nos jours les jeux solos narratifs sont comme tu le dis si bien, de meilleurs vecteurs d’émotions que certains films. C’est dingue qu’on en soit arrivé à ce niveau-là mais c’est tellement bon au final. Ces expériences nous marquent et c’est tant mieux je trouve même si parfois c’est difficile à vivre pendant un certain temps.
Salut, merci pour ton article ! Ce dire qu’on n’est pas le seul à avoir se sentiment aide à remonter le moral après un bon jeu. Il n’y a pas grand chose qui parle la dépression post game sur internet et en plus ton article est bien expliqué donc encore un grand merci :)
Salut ! Merci pour ton commentaire et d’avoir pris le temps de me lire. Je précise tout de même que cet article n’est nullement scientifique ou quoi mais uniquement basé sur mon ressenti. En l’écrivant je me suis douté que de nombreuses personnes devaient ressentir la même chose donc j’en ai parlé car comme tu le dis si bien, il y a assez peu d’articles sur le sujet.
Dans tous les cas merci à toi, et tant mieux si mon article t’a permis d’y voir plus clair. ;)