Un jeu qui fedex les foules…
Désormais disponible dans toutes les bonnes crèmeries, Death Stranding signe le retour très médiatisé de Hideo Kojima sur le devant de la scène, pour son premier jeu d’homme libre, affranchi des chaines dont l’avait affublé Konami.
Si le personnage divise, il en va de même pour le jeu. Après des mois de teasing et une poignée de secondes de gameplay disponible, le mystère entourant le jeu et ses mécaniques reste entier. En 2019, c’est un véritable tour de force que de maintenir autant le secret sur une production de ce calibre, jusqu’au jour même de la sortie. Rien que pour cela, chapeau à Kojima Production et ses équipes de com.
Merci à PlayStation France, qui nous a fait parvenir un code que je me suis empressé d’utiliser pour télécharger le jeu. 50Go au programme, et une mise à jour de 1 ou 2Go pour la version physique. On est bien en 2019 finalement.
Après quelques heures manette en main, le test va s’avérer un exercice délicat de par la nature même du jeu. En dire beaucoup sans en dire trop, sans spoiler et sans gâcher le dépaysement proposé sera un numéro d’équilibriste, à n’en pas douter.
On se retrouve dans tous les cas dans quelques jours pour voir si j’ai réussi à marcher sur la corde ou si je me la suis passé autour du cou.
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