Retour sur la Game Boy, la console portable légendaire de Nintendo
On y est enfin, après presque huit mois dans nos cartons notre article dédié aux 25 ans de la Game Boy en Europe est enfin terminé et publié ! L’occasion de revenir sur des souvenirs en or et une console portable absolument mythique.
Créée par Gunpei Yokoi, un homme à qui Nintendo doit énormément puisque c’est notamment lui qui a conçu les Game and Watch ou encore le tout premier Metroid, la Game Boy a été commercialisée en 1989 au Japon et aux Etats-Unis. Il faudra attendre 1990 pour que les Européens puissent découvrir ses charmes et la joie d’acheter des piles LR6 par palettes.
Romain :
La Game Boy (ou le après tout peu importe j’ai toujours dit « la » moi) est une console qui m’a marqué même si (à mon grand regret) je ne l’ai eut que tardivement. J’ai à l’époque plus testé les consoles de quelques amis avant de l’avoir moi-même. Je me souviens encore de cette loupe immense qui nous permettait de mieux voir (ou pas) l’écran de cette console monochrome ainsi que de la luminosité indispensable pour espérer y voir quelque chose.
Côté jeux, je passerai sur Tetris qui est évidemment un titre légendaire et sur lequel j’ai passé de nombreuses heures pour plutôt parler des autres qui m’ont plus marqué comme Gargoyle’s Quest, Kirby’s dream land ou encore Wario Land qui sont ceux auxquels j’ai le plus joué. Mais je ne devais en retenir qu’un seul, celui qui encore aujourd’hui me rappelle tous ces souvenirs de dingue ce serait bien sûr Pokémon version bleue. J’avais même réussi à avoir le mythique Mew et compléter le Pokédex en entier grâce à un ami qui avait la version rouge du titre. Je vois d’ici les huées pour m’insulter de ne pas avoir fait Link’s awakening alors que Zelda est l’une de mes séries préférées (n’est-ce pas Quentin ?) mais je préférais acheter des jeux sur Master System ou MegaDrive à cette époque et je n’ai découvert la série qu’avec l’épisode Ocarina of Time.
Comme vous le savez je n’ai jamais été très portable (je préfère jouer tranquille dans mon canapé sur ma télé) mais malgré tout je remercie aujourd’hui Nintendo d’avoir proposé cette console puisque le marché aujourd’hui nous propose tellement de bons titres que l’ignorer serait un blasphème.
Quentin :
J’ai beau avoir découvert les jeux vidéo sur la Nintendo NES d’une amie, ma toute première console à été une Game Boy avec le mythique Tetris. La Game Boy c’est pour moi un tas de souvenirs irremplaçables sur des jeux absolument magiques comme les premiers Pokémon ou Zelda Link’s Awakening. D’ailleurs cet épisode de Zelda est sans aucun doute un de mes jeux préférés en plus d’être un titre m’ayant tenu en haleine de longues semaines à cause de certaines énigmes assez ardues. Et puis c’est aussi un jeu auquel je prends toujours plaisir à jouer vingt ans après l’avoir découvert !
Mais si je dois évoquer mes très bons souvenirs avec la Game Boy, impossible d’oublier Wario Land, un Mario sous acides avec un direction artistique géniale. J’adorais utiliser les différents chapeaux de Wario pour voyager dans les différents niveaux du jeu, à la recherche des trésors perdus de l’île Dessert.
Evidemment je ne pourrais pas écrire un article sur la portable de Nintendo sans mentionner Pokémon, le jeu qui m’a fait devenir client V.I.P chez Energizer ! J’ai passé de dizaines et des dizaines d’heures à entraîner mes monstres de poche, à compléter mon pokédex ou encore à parcourir ce vaste monde pixelisé sans jamais m’ennuyer une seule seconde. J’avais même réussi à trouver les 151 Pokémon, en utilisant mes deux cartouches de jeu et surtout grâce à l’action-replay d’un camarade de classe pour obtenir l’insaisissable Mew.
Alors oui la Game Boy n’a pas eu que des bons jeux dans sa ludothèque et on y trouve aussi eu des horreurs capables de vous traumatiser pendant des années, comme Le Bossu de Notre Dame, mais j’aime cette console. C’est d’elle que me vient mon intérêt pour les consoles portables, mêmes les plus affreuses comme la Game Gear, mais aussi des souvenirs merveilleux. Cependant je regrette énormément la direction prise par Nintendo avec ses nouvelles consoles portables, qui ne m’attirent simplement plus alors que j’ai passé des centaines d’heures sur ma Game Boy Advance et que j’ai dans ma jeunesse complètement usé ma Game Boy Color.
Julien :
Aaaaah la Game Boy…. Console mythique, déclinée dans je-ne-sais-combien-de-versions-différentes, avec une ludothèque culte reprenant les séries empruntées à ses grandes sœurs de salon avec brio et en créant de nouvelles par la suite. Je me souviens avoir eu cette console sur le tard, la Game Boy Color était déjà sortie lorsque j’ai eu ma Game Boy « fat » avec son super écran qui prend la poussière et son contraste réglable foireux.
Mais je ne compte même plus les heures passées sur cette bécane. Tout a commencé avec Kirby’s Dream Land et sa musique entraînante. Puis je me suis laissé tenter par un jeu dont je ne me souviens pas objectivement s’il était bon ou mauvais: Batman le Défi. C’était un véritable bonheur pour un gosse comme moi de pouvoir revivre les aventures du film de Burton sous la couette (enfin, avec une lampe de chevet…. Le rétro éclairage, Nintendo mettra plus de dix ans à y venir!).
Outre les déclinaisons de Mario qui m’ont fait user les boutons de la machine jusqu’à la couenne (Mario Land 2, ce meilleur Mario de tous les temps – et qui introduit Wario pour la première fois dans la mythologie du plombier!), ce sont bien sûr les aventures de son crétin de cousin qui m’ont le plus plu, avec Warioland et Warioland 2.
Mais le top de ma ludothèque Game Boy de l’époque, ces deux jeux qui m’ont fait cramer tellement de piles que je pense que Mr Energizer a le compte en banque rempli pour dix générations, ce sont bien évidemment les deux mastodontes de la console à l’époque: tout d’abord Zelda Link’s Awakening, le plus onirique des Zelda, nous narrant les mésaventures de Link échoué sur une île mystérieuse – Une épopée fantastique, toujours aussi envoûtante même après tant d’années -, mais surtout le rouleau compresseur Pokemon (Version Rouge pour ma part… Dracaufeu is in da place!) qui m’a juste initié à l’un de mes genres de jeux préférés, les JRPG. Je ne compte plus le nombre de parties sur cette cartouche, les challenges que je m’imposais lors de ma 1558662232453ème partie (attraper tous les pokémon, monter une bestiole de chaque catégorie au niveau 100, attraper Mewtwo sans la Master Ball…) et le nombre de fois où j’ai profité de ce putain de bug de transfert pour dédoubler des pokemon rares avec un pote.
Bref, j’ai beau être un énorme joueur nomade, j’ai beau adorer ma GameBoy Advance Micro, mes Ds/3ds ou encore ma Psp et ma Vita, la toute première GameBoy aura toujours une place à part dans mon cœur. (ouais je sais, c’est cul cul, mais c’est dire à quel point j’adore cette bécane!)
- J’ai testé la Trust GXT 900 Qudos RGB Gaming Mouse - 26 octobre 2020
- La souris Trust GXT 900 Qudos RGB Gaming Mouse débarque à la maison ! - 13 octobre 2020
- Critique de Nioh 2 [PS4] - 20 avril 2020