A new challenger appears : Dead Cells
Même moi qui suis l’actualité du jeu vidéo de façon quelque peu distanciée, je n’ai pu échapper à Dead Cells. Jim Sterling, que j’apprécie beaucoup, en a fait l’éloge dans plusieurs vidéos, et le jeu semble faire l’unanimité en sa faveur.
Pour ceux qui débarquent, de quoi s’agit-il ? D’un rogue-lite, un jeu fait d’une succession de niveaux générés de façon aléatoire (ou plutôt semi-aléatoires, en l’occurrence), qui renvoie le joueur au début de l’aventure dès qu’il meurt. Impitoyable à souhait ! Dead Cells emprunte également à Metroid, CastleVania (on parle d’ailleurs de « MetroidVania ») ainsi qu’à la série Dark Souls.
J’ai été séduit par son ambiance et ses gros pixels, et puis j’ai un faible pour les jeux plutôt modestes, qui sont moins pourris par les manœuvres douteuses de l’industrie du jeu vidéo, et proposent souvent des jeux tout à fait honnêtes pour un prix réduit.
Signalons que Dead Cells est le bébé de Motion Twin, un studio français de 11 employés, créé en 2001 et jusqu’alors peu connu. C’est le premier jeu entièrement payant de ce développeur, à qui on souhaite d’autres succès de ce genre.
Dead Cells est disponible depuis août sur Playstation 4, Switch, Xbox One, Windows et même Mac et Linux. C’est la version Windows que j’ai pu essayer, grâce à un code Steam aimablement offert par Motion Twin, que nous remercions chaleureusement. A bientôt pour mes impressions !
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