OneeChanbara Origin : Zombies, sabres et bikinis

OneeChanbara logo

OneeChanbara Origin arrive pour tout découper

A l’heure où les remasters et autres portages de jeux plus ou moins vieux pullulent sur nos machines, certains titres semblent sortis tout droit de nulle part et sont pour la plupart oubliés. OneeChanbara Origin est un peu de ceux-là. Il faut bien l’admettre, la série a fait les beaux jours de la PlayStation 2 et a connu quelques opus mais n’a pas connu de suites véritablement marquantes. Pour remédier à cela, D3 Publisher a jugé bon de remettre au goût du jour les deux premiers volets dans cette compilation. Graphismes et gameplay retravaillés, nouveautés ingame… Les développeurs ne se sont pas moqués des joueurs et des fans.

Le titre propose de suivre les aventures d’Aya, une jeune femme aussi peu vêtue que puissante avec un katana. Cette dernière est sur les traces de sa soeur Saki et de son père qui ont complètement disparus après le décès de leur mère. Evidemment, dans la veine d’un Bayonetta, le titre ne se prend pas au sérieux et propose une héroïne hyper sexualisée mais badass qui tranche des membres comme personne ! OneeChanbara Origin est un pur beat’em up de cette époque. Nerveux et sanglant, il est un pur défouloir comme je les aime (plus proche d’un musou que d’un Streets of Rage 4…).

OneeChanbara Aya mouline et découpe des zombies
Oui le jeu est bien sanglant…

Je l’avoue, j’avais complètement oublié la date de sortie du jeu avant de recevoir le mail de D3 Publisher me proposant un code de téléchargement pour en faire une critique complète au sein de nos colonnes. Evidemment j’ai lancé le téléchargement du jeu et rédigé ce petit article de remerciements pendant son installation. Je vous donne donc rendez-vous ici très prochainement pour un test en bonne et due forme. Un grand merci donc à D3 Publisher pour leur confiance et leur générosité.

Romain Boutté
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